
La jeunesse sénégalaise ne se soucie que des dépenses énergétiques infondées, insensées et ancrées dans une atmosphère d’aucun rendement. Insoucieuse de l’urgence et de priorité, s’en débarrasse et s’apparente au domaine de fourre-tout, de brouhaha, de verbiage et de j’menfoutisme révolu.
En effet, la croissance démographique des jeunes, au lieu d’être le réel atout potentiel, mais soubassement de futilité, de stérilité, de perversité, de compétitivité inutile, de médiocrité, d’ incompétence incommensurable, de tendance, d’impatience, d’ invraisemblance, de contre-vérité, de contre-valeur, de connerie, de tricherie et de supercherie.
Ce partout de feu constitue en amont les primordiales sources d’inspiration des jeunes rêveurs de la lune de midi et du soleil de minuit.
En supplément, parmi les phénoménaux chez les jeunes, les uns préfèrent mourir de chômage et de sabotage et les autres rêvent du cadeau du ciel.
En outre, la préoccupation n’est plus au cœur des priorités chez eux. Les maisons ne sont plus une détention provisoire des jeunes comme auparavant. L’Internet, fruit des réseaux sociaux, devient prison ferme des frustrés. Ces derniers vivent en privation élevée de toute jouissance, de toute-puissance de surcroît d’espérance.
Cependant, l’avenir est en parfaite confusion parce que redoutable de plus en plus.
Désarroi sur désarroi jusqu’à l’infini. Rendez-vous à la sommité du doute, les réseaux sociaux deviennent l’initial recruteur des sacrés rêveurs comme des confiés à des missions impossibles. Les activités génératrices de médiocrité accroissent au pays de beau enjoliveur et charmeur de jeunesse à ces prédateurs extravertis.
Le taux de croissance important des jeunes devait être fournisseuse d’énergie rentable au profit du pays en voie de construction, mais au contraire, contraignante inégalée empêchant les normes rythmiques de l’émergence.
En perspective, le système du monde actuel où nous sommes n’excuse aucun faible, cependant seuls les plus forts nourrissent de bien, de bon et de bonbon. Les détriments auront tort tant que l’esprit de renaissance s’affaiblit. Seul le travail peut rendre l’impossible possible mais à condition que la dignité se conjugue
Par Papa S Traoré
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